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Ce que la presse en dit…

Édition 2010

«Le Festival Voix d’Amériques rejette les conventions, les convenances, les contraintes et la logique et célèbre l’extravagance et la liberté de création.»

24 heures (Québec), 12 février 2010

«Conservant sa saveur marginale, bien que se hissant au rang d’événement incontournable à Montréal, le Festival Voix d’Amériques nous revient pour une 9e édition du 5 au 12 février 2010. Les Filles électriques, collectif frondeur, fondateur et producteur de l’événement, nous ont concocté une nouvelle programmation riche en découvertes, toujours bilingue et éclatée, unissant artistes d’ici et d’ailleurs…»

— Pascale Gauthier, Ici Montréal (Québec), 5 février 2010

«Hétéroclite et outrancier, le Festival Voix d’Amériques, neuvième, fait encore dans l’éclatement des genres.»

— Aurore Lehmann, Voir (Québec), 4 février 2010

«Festival Voix d’Amériques celebrates nine years with their usual mix of unusual performances.»

— Neil Boyce, Montreal Mirror (Québec), 4 février 2010

«D’bi young mixes myth and lived reality, magic and blood ritual, in one-woman show Benu. She brings her power to Voix d’Amériques.»

— MJ Stone, Hour (Québec), 4 février 2010

«2010 Voix d’Amériques lineup: Eclecticism on menu.»

— Pat Donnely, The Gazette (Québec), 21 janvier 2010

«Célébrant sa 9e édition cette année, le FVA revient pimenter l’hiver avec son lot de productions audacieuses, centrées principalement sur le spoken word, cette parole dite sur scène qui est au centre de son orientation.»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 20 janvier 2010

«Éclectiques Voix d’Amériques: En neuf ans d’existence, le Festival Voix d’Amériques est devenu un temps fort pour le spoken word et autres variations sur la performance en marge.»

— Sylvie St-Jacques, La Presse (Québec), 20 janvier 2010

«Pendant sept jours, les curieux et assoiffés de nouvelles voix, de marginalités et d’atypiques artistes auront la chance d’assister à la 9e édition du Festival Voix d’Amériques.»

— Sara Dufour, Échos Montréal (Québec), 15 janvier 2010

«The extraordinary Festival Voix d’Amériques is back for its ninth year Feb. 5-12, featuring special guest, Philadelphia hip hop artist Ursula Rucker.»

— Vincent Tinguely, Montreal Mirror (Québec), 14 janvier 2010

Édition 2009

«En toute liberté et à pleine capacité. À sa huitième année, on peut dire que le Festival Voix d’Amériques (FVA) a atteint une belle maturité. Sa programmation, qui s’est étalée du 6 au 13 février, propose un savant équilibre entre expérimentations et classiques. Il faut dire que son existence, en plein milieu du tristounet mois de février, est pratiquement devenue indispensable pour défier la déprime hivernale.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 16 février 2009

«Le Combat contre la langue de bois est un des moments forts du Festival Voix d’Amériques (FVA). Pour ce cinquième round, déjà à guichets fermés, neuf grande gueules disposeront aujourd’hui de six minutes, pas une de plus, pour dénoncer, haranguer ou protester.»

— Catherine Lalonde, Le Devoir (Québec), 12 février 2009

«Lorsqu’elle a pris les rênes du Festival Voix d’Amériques (FVA), la directrice artistique, D Kimm, a instauré les soirées Body and Soul. Pour donner la place à des filles de mots hot sur scène qui ont une inspirante présence physique. Cette année, pour sa sixième édition, Body and Soul inverse la donne, en invitant des danseuses à prendre la parole. Une occasion pour elles de prendre un risque et pour le public d’assister à une soirée de filles vraiment pas ordinaire.»

— Catherine Lalonde, Le Devoir (Québec), 10 février 2009

«Pour le poète performeur, le FVA est une occasion magnifique de sortir de sa zone de confort et de prendre le crachoir devant un public ouvert d’esprit. Lire sa poésie en public fait partie, pour certains, du processus d’écriture; c’est l’étape qui permet de fixer le texte écrit.»

— Marie-Hélène Poitras, Voir (Québec), 5 février 2009

«More than words, the eighth annual multifaceted Festival Voix d’Amériques brings it on, mixes it up and shouts out loud. The eighth annual FVA is taking a sharp, over-the-top turn this year towards multidisciplinary performance. This year the festival takes a lot of its inspiration from last year’s Dada cabaret, an event that drew huge crowds. That show really represented the turning point for the festival.»

— MJ Stone, Hour (Québec), 5 février 2009

«Performances moves to centre stage at the eighth annual Festival Voix d’Amériques. It’s a week-long extravanganza that has made Montreal a major stop on the international spoken word circuit. This year’s edition features guest of honour Marie-Jo Thério and a large dose of performance art added to the usual heady mix.»

— Vincent Tinguely, Montreal Mirror (Québec), 5 février 2009

«Véritable ovni culturel, le Festival Voix d’Amériques (FVA) atterrira de nouveau à Montréal du 6 au 13 février prochain. Ayant pour mission de faire découvrir de nouvelles voix, le festival nous fait aussi entendre différemment ceux que nous connaissons déjà. Mélangeant musique, poésie, spoken word, improvisation et orientant le tout vers la performance, le FVA met de l’avant le texte dans toutes ses déclinaisons.»

— François Lachapelle, Nightlife (Québec), 1 février 2009

«Du 6 au 13 février, le Festival Voix d’Amériques célébrera encore une fois la parole. Parmi les découvertes, la Française Myriam Pellicane qui visite le Québec pour la première fois avec son spectacle Montres.»

— Paul Journet, La Presse (Québec), 31 janvier 2009

«Le FVA a son public. Qui s’élargit d’année en année, peu importe la température, au grand plaisir des artistes qui y prennent part. Des artistes qui se succèdent au gré des découvertes de D Kimm, qui a, pour cette édition, réussi à mettre le grappin sur Marie-Jo Thério. Une des forces du FVA, c’est sans contredit sa programmation qui oscille entr la continuité et le renouvellement, toujours à l’affût de nouvelles voix pour incarner son élan sauvage et curieux, mais à la fois fidèle à soi-même pour paraphraser une chanson de l’invitée d’honneur d’une édition précédente, Urbain Desbois, grâce à des soirées devenues classiques. Alors, troquons le marteau et la faucille pour le micro et la fête!»

— Maxime Catellier, Ici Montréal (Québec), 29 janvier 2009

«L’inclassable Marie-Jo Thério étant l’une des voix les plus singulières de l’Amérique française, on se s’étonne pas de la voir invitée d’honneur d’une manifestation à la personnalité aussi forte et aussi unique que le Festival Voix d’Amériques. Le Festival Voix d’Amériques se veut précisément une zone de liberté hors-carrière pour les artistes. Il leur permet d’essayer des choses qu’ils vont peut-être garder dans leur travail ensuite.»

— Alexandre Vigneault, La Presse (Québec), 20 janvier 2009

«Au programme du FVA, qui se veut un lieu d’audace et de renouvellement permanent, on trouvera cette année quelques nouveaux concepts. Le collectif Brahmine, par exemple, présente Le miracle de Brahmine, mettant en scène du théâtre ainsi que des marionnettes et des sciences occultes, avec des effets de lumières élaborés. Autre curiosité attendue cette année, l’Orchestre d’hommes-orchestres, qui présente un spectacle de chansons de Tom Waits, rendues dans le registre du chanteur.»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 20 janvier 2009

«Les Filles électriques, ce grand collectif qui s’est donné pour mandat de promouvoir le texte performé, le spoken word, promet une huitième édition encore plus éclatée et plus audacieuse de son Festival Voix d’Amériques, le plus important événement du genre au pays qui se déroulera du 6 au 13 février. Grande voyageuse devant l’Éternel, artiste intense que l’on arrive difficilement à catégoriser, Marie-Jo Thério sera l’invitée d’honneur de cette huitième édition qui réunira des dizaines d’artistes, de poètes, de chanteurs, de performeurs, de musiciens et de danseurs qui uniront leur voix pour crier haut et fort leur amour des mots.»

— Louise Dussault, 24 heures (Québec), 20 janvier 2009

«Avec une programmation audacieuse, variée et parfois même gratuite, le Festival Voix d’Amériques (FVA), qui se tiendra du 6 au 13 février, promet de faire vibrer les Montréalais au rythme de la poésie et de la performance. On sent que le FVA s’impose dans le paysage culturel et que le slam, qui gagne en popularité, a rendu la poésie plus accessible.»

— Nicholas Lavallé, ; Le Journal de Montréal (Québec), 20 janvier 2009

«Le Festival Voix d’Amériques, célébrant une parole plurielle au cœur d’un hiver froid et tenace, réchauffera les amoureux de poésie, de musique et de performance pour sa 8e édition du 6 au 13 février.»

Ici Montréal (Québec), 15 janvier 2009

«An international festival, poets who rock and a fistful of readings. Winter-bluesing Montrealers fiending for some spoken word solace can look forward to an invasion by firendly Aussies, a dreamy Nuit blanche and a lot of spirited slamming. Our flagship spoken word Festival Voix d’Amériques features a stunning series of shows as envisioned by director D Kimm

— Vincent Tinguely, Montreal Mirror (Québec), 15 janvier 2009

«La voix de la poésie. Le Festival Voix d’Amériques (FVA), un rassemblement culturel à la fois festif et poétique, ouvert à tous, qui invite à la découverte d’une centaine d’artistes francophones et anglophones, dans une ambiance totalement éclatée!»

Entre les lignes (Québec), 1 janvier 2009

«Le Festival Voix d’Amériques donne la parole aux gens différents et à ceux qui ne sont pas souvent entendus. Produit par Les Filles électriques, l’événement est un lieu d’expérimentation engagé où les artistes font de la poésie performée sur scène, révèlent des contes méconnus au public et dialoguent avec celui-ci pour rendre le spectacle éclaté.»

canoe (Québec), 28 novembre 2008

«Pour sa huitième édition, le Festival Voix d’Amériques sera notamment axé sur la performance, l’interdisciplinarité et la poésie. Les organisateurs ont programmé le spectacle d’un nouveau band appelé Poètes publics qui réunira des musiciens improvisateurs. Les classiques du festival reviendront dont le Combat contre la langue de bois et on annonce aussi une nouveauté, soit le spectacle Le Miracle de Brahmine, une création théâtrale dans la tradition de Méliès, Houdini, des Cabinets des curiosités et du spiritisme du 19e siècle.»

cyberpresse.ca (Québec), 26 novembre 2008

Édition 2008

«Pour ce quatrième round du Combat contre la langue de bois, on constate l’équilibre, pas de poids plume contre des poids lourds, probablement parce que la tradition commence à s’établir au Festival Voix d’Amériques. D’ailleurs, après quatre ans, on parle déjà d’un spectacle culte, puisqu’il affiche toujours complet.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 9 février 2009

«…Jérôme Minière est devenu une grande voix… d’Amériques. Le spectacle multiforme du Montréalais d’adoption, présenté mardi soir à la Sala Rossa, le maintient sans contredit au sommet de la parole d’ici. Tant au point de vue de la chanson que de celui du conte ou même de la poésie, Minière exhalait l’humour fin, la tendresse, la candeur, la propension au fantastique, l’hypersensibilité, le sens critique. On en attendait pas moins de lui.»

— Alain Brunet, La Presse (Québec), 8 février 2009

«Un happening qui dérange, qui réveille, qui décape et qui rassasie. La reprise de La salle des pas perdus, présenté au Poesie Berlin Festival en juin 2007, a fait vivre aux festivaliers de Voix d’Amériques de superbes moments de délire oral, de comique burlesque, de beauté étrange, de cacophonie maîtrisée…»

— Sylvie St-Jacques, La Presse (Québec), 7 février 2009

«John Giorno, icône de la Beat Generation, donnait le coup d’envoi des réjouissances vendredi au Festival Voix d’Amériques (FVA), dont il est l’invité d’honneur cette année. La jouissance du survivant. C’est la voix de toute une époque qu’on entendait, toujours aussi séduisante et invitante, sans laquelle un événement comme le FVA ne pourrait exister aujourd’hui. Cet homme est un culte à lui tout seul. Éloge de la jouissance, de l’amour, de la compassion, de la liberté; c’est toujours bon de se les faire rappeler. Remercions le FVA d’avoir invité John Giorno

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 4 février 2008

«Fest starts off with a classic Beat. Spoken-word veteran John Giorno featured. The eight-day festival promotes spoken-word performances of various kinds, some in Englilsh and some in French, but that’s not all. People should come to discover.»

— Kathryn Greenaway, The Gazette (Québec), 1 février 2008

«Sortez vos oreilles! Le Festival Voix d’Amériques se fait entendre. Du texte performé, du spoken word, de la parole audacieuse, voilà ce que propose le Festival Voix d’Amériques, qui en est à sa septième édition cette année. La programmation est trop riche pour en faire état ici, allez voir le site internet pour découvrir tous les événements.»

— Éric Trudel, Metro (Québec), 1 février 2008

«Éclats de voix. On court se réchauffer au Festival Voix d’Amériques, la plus grande fiesta de spoken word au Canada. Pour nous aider à choisir parmi la pléiade de spectacles, D Kimm, la directrice de l’événement, nous livre ses trois coups de cœur: John Giorno, Combat contre la langue de bois et le Cabaret dada où paillettes, travestis et envolées lyriques sont à l’honneur… Une combinaison absurde pour un spectacle de clôture très éclaté.»

— Catherine Perreault-Lessard, ELLE Québec (Québec), 1 février 2008

«Voilà déjà sept ans que l’hiver montréalais connaît, au tournant de février, une soudaine hausse du mercure. Chaque fois, pendant une petite semaine, la parole performée s’envole, s’embrase, s’éprend et s’emporte. Le Festival Voix d’Amériques entend bien jeter de nouveaux ponts entre la marge et le grand public.»

— Tristan Malavoy-Racine, Voir (Québec), 31 janvier 2008

«The ambitious, extraordinary, fabulous Festival Voix d’Amériques spoken word fest kicks off tonight with a grand evening of poetry with guest of honour and Hour cover man John Giorno. One of the leading figures in performance poetry with a career spanning more than 50 years. NYC’as Giorno helped establilsh spoken word as an art form in its own right.»

Hour (Québec), 31 janvier 2008

«Consacré à la poésie performée, au spoken word, à la musique et la parole sous toutes ses formes, le multilingue Festival Voix d’amériques (FVA), l’un des meilleurs événements culturels à Montréal, offre bon an, mal an une riche programmation.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 20 janvier 2008

«7e Festival Voix d’Amériques: La Beat Generation à l’honneur. Les années se suivent et ne se ressemblent pas au Festival Voix d’Amériques (FVA), sauf pour une chose: la surprise est toujours au rendez-vous. Pour sa septième présentation, le FVA se paye rien de moins que John Giorno comme invité d’honneur, l’un des derniers survivants de la Beat Generation.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 16 janvier 2008

«Le poète John Giorno sera l’invité d’honneur du Festival Voix d’Amériques. À 72 ans, John Giorno est considéré comme le dernier poète de la Beat Generation qui rassemblait entre autres, dans les années 60, Jack Kerouac, Allan Ginsberg et William Burroughs. Depuis la création du Festival Voix d’Amériques, il y a sept ans, sa conceptrice et directrice D Kimm s’est fait un point d’honneur d’y donner la parole à de nouvelles voix, en plus de donner une scène au spoken word

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 16 janvier 2008

«Fidèle à sa mission, le FVA, un événement d’envergure internationale consacré au spoken word et à la poésie parlée et qui est le plus important événement du genre au pays, innove encore cette année avec des projets aussi audacieux qu’inspirants comme une reprise de La salle des pas perdus, un spectacle qui a été créé à Berlin, un Combat contre la langue de bois plus mordant que jamais et une carte blanche à Jérôme Minière

24 heures (Québec), 16 janvier 2008

«Le Festival Voix d’Amériques nous revient cette année avec un invité d’honneur pas piqué des vers. Le poète John Giorno, dernier survivant de la bande des Burroughs, Kerouac, Ginsberg, Corso, Gysin et compagnie, sera de la fête du 1er au 8 février 2008. Il présentera un spectacle solo et participera à une soirée réunissant des poètes anglophones, et une autre avec des poètes francophones.»

Ici Montréal (Québec), 10 janvier 2008

«A legendary pioneer of spoken word and performance poetry, New York’s John Giorno headlines this year’s international edition of the Festival Voix d’Amériques. Gifted with an extraordinary stage presence and an instinctive grasp of new media, Giorno’s tireless activities through Giorno Poetry Systems has helped bring spoken word to the wider public consciousness.»

— Vincent Tinguely, Montreal Mirror (Québec), 10 janvier 2008

«Atypique, le Festival Voix d’Amériques poursuit son travail de faire entendre les voix qui sortent du consensus et de la langue de bois pour une septième année. Cette édition est parrainée par John Giorno, dont la carrière s’étend sur plus de cinquante ans et est un de ceux qui ont façonné la voie de la poésie performée. C’est le temps de prendre vos vitamines, vos anticorps vous remercieront.»

Bang Bang (Québec), 1 janvier 2008

Édition 2007

«Ce festival qui élargit chaque année son influence en réunissant des artistes de tous horizons pour célébrer la parole sur les planches de la chaleureuse scène de la Sala Rossa ou encore dans l’ambiance festive et décontractée de la Casa del Popolo, toutes deux sises sur l’autre boulevard Saint-Laurent, loin des pétarades qui caractérisent la Main entre Sherbrooke et Des Pins.»

— Maxime Catellier, Ici Montréal (Québec), 25 février 2007

«Il n’y a pas à dire: Richard Desjardins ne fait rien comme les autres. À cause de cela, cette sixième présentation de Voix d’Amériques fut mémorable.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 10 février 2007

«Bon coup de cette sixième édition d’une manifestation musicale et poétique qui vient de se terminer: Richard Desjardins était son invité d’honneur. On a tous accouru, forcément. Tant mieux.»

— Odile Tremblay, Le Devoir (Québec), 10 février 2007

«Il est revenu au festival d’autres soirs, Desjardins, martelant le même clou de la poésie et de l’engagement, révélant du même souffle un festival encore tout fragile, pas sclérosé, en marche, vivant, quoi…»

— Odile Tremblay, Le Devoir (Québec), 10 février 2007

«Pour le troisième round du Combat contre la langue de bois, l’un des spectacles les plus courus du Festival Voix d’Amériques, on peut dire qu’on a eu droit à des pugilistes de haut niveau, pour ne pas dire des Rocky Balboa du discours, mercredi soir, à la Sala Rossa. En route pour un quatrième round? On l’espère.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 9 février 2007

«Départ en lion pour le 6e Festival Voix d’Amériques (FVA) avec le spectacle solo de son invité d’honneur, Richard Desjardins (…) Il est fait pour le FVA comme le FVA est fait pour lui, c’est pour ça qu’on a trippé en sachant qu’il en était l’invité d’honneur cette année.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 3 février 2007

«La rencontre était trop belle. Pour ses fans, c’était une belle et rare occasion. Pour les adeptes du FVA, c’était une grande inauguration.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 3 février 2007

«Merci au Festival Voix d’Amériques de nous avoir fourni cette occasion inespérée de voir et entendre le Richard Guétare, ce spectacle de close-combat que Desjardins avait promené partout au Québec sauf à Montréal.»

— Sylvain Cormier, Le Devoir (Québec), 2 février 2007

«Le Festival Voix d’Amériques est depuis 2002 une tradition dans le domaine de la littérature orale, de la poésie performée et du spoken word.»

— Bruno Lapointe, Le Journal de Montréal (Québec), 2 février 2007

«Quand je pense au Festival, je pense à l’intensité, à quelque chose d’extrêmement profond, et au public fidèle. Pour moi, c’est un événement qui aide à réconcilier les deux solitudes de manière admirable, parce que les artistes anglophones autant que de langue espagnole ou française s’y côtoient dans une ambiance de fraternité et aiment y revenir. Et ça, le public le sent. [Tony Tremblay]»

— Julie Tremblay, Voir (Québec), 1 février 2007

«Depuis cinq ans, le Festival Voix d’Amériques gagne en popularité, et tout porte à croire que cette sixième édition ira conquérir un public encore plus large.»

— Julie Tremblay, Voir (Québec), 1 février 2007

«C’est un festival qui recoupe les langues, les genres, les styles, un peu à l’image de Montréal, qui laisse une grande place à la poésie et aux mots, avant la musique, on racontait des histoires. [Richard Desjardins]»

— Martina Djogo, Voir (Québec), 1 février 2007

«Je ne vois pas d’autre place où je pourrais faire quelque chose comme ça ajoute Richard Desjardins. C’est bien résumer l’esprit du FVA et son désir d’offrir une tribune à des voix différentes, ou à des voix bien connues, mais différemment.»

— Martina Djogo, Voir (Québec), 1 février 2007

«Ce festival de spoken word est irrévérencieux et engagé, mais ça tombe bien: Richard Desjardins, son invité d’honneur, l’est tout autant. Leur rencontre donnera quelques spectacles intimistes, points forts d’une programmation dédiée à la parole, à son poids, à ses métamorphoses.»

— Martina Djogo, Voir (Québec), 1 février 2007

«La rumeur favorable qui précède l’édition 2007 de Voix d’Amériques a de quoi faire saliver plus d’un amateur de spoken word, de slam et de poésie.»

— Thomas Leblanc, Nightlife (Québec), 1 février 2007

«Méchant beau coup de filet pour le FVA (Richard Desjardins), et on se dit que cette sixième année fera date, c’est certain.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 28 janvier 2007

«Depuis cinq ans, j’ai maintenant mon truc pour contrer la déprime hivernale: mon vaccin à moi se nomme le FVA. Même si j’y attrape chaque fois la grippe, ça n’a rien à voir avec le froid. Parce que le FVA est bon, bon bon … comme un bon scotch.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 28 janvier 2007

«On connaît sa voix grave, ses envolées de poète, sa musique des soirs qui penchent. On sait son amour de la forêt, son engagement envers elle. On sait tout ça, mais on se doute aussi qu’il peut se renouveler, et c’est ce que propose Richard Desjardins dans les deux spectacles qu’il présentera à Voix d’Amériques, le festival des work-in-progress, qui se déploie du 2 au 9 février prochain.»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 27 janvier 2007

«Voix d’Amériques, c’est aussi des possibilités de rencontre électrifiantes!»

— Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal (Québec), 21 janvier 2007

«Voix d’Amériques is teeming with exciting new twists on the performed word genre this year, as always, and moving with greater and greater strides towards a pan American perspective.»

— Isa Tousignant, Hour (Québec), 18 janvier 2007

«Humoristique et sensible, hétéroclite et foisonnant (…) un festival qui a toujours voulu faire la place belle aux têtes montantes de la scène.»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 17 janvier 2007

«Pour sa sixième présentation, le Festival Voix d’Amériques (FVA) ne montre aucun signe d’essoufflement et s’offre un invité d’honneur tout ce qu’il y a de plus honorable: nul autre que Richard Desjardins. Vivement février!»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 17 janvier 2007

«Festival Voix d’Amériques may be one of the smallest festivals on the Montreal calendar but within the spoken-word genre, it’s the largest in Canada and one of the most influential on the continent.»

— Pat Donnely, The Gazette (Québec), 17 janvier 2007

«C’est pas glamour, ce festival-là. En même temps, c’est un laboratoire. D. Kimm est ouverte aux multiples tendances. Les festivals, habituellement, c’est précis, c’est soit tel genre de musique, tel autre. Elle, elle brasse tout ça, elle mélange. C’est à l’image de Montréal. [Richard Desjardins]»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 16 janvier 2007

«C’est un grand honneur d’avoir été invité ici, c’est le genre de festival que je trouve important. Surtout en ces temps où il n’y a de la place que pour les grosses machines et les mêmes faces — dont la mienne!»

— Richard Desjardins, 16 janvier 2007

Édition 2006

«As well, our annual spoken-word gathering, Festival Voix d’Amériques, drew record numbers this year with a stellar pan-canadian lineup that included Tomson Highway. We’re showing definite epicentre potential.»

— Pat Donnelly, The Gazette (Québec), 4 mars 2006

«Un événement audacieux, risqué, poétiquement délinquant (…) dans des lieux magnifiques. (…) Merci de le faire toujours, et de plus en plus consistant… C’est une sacrée bonne affaire.»

— Monique Giroux, Radio-Canada: Fréquence libre (Québec), 10 février 2006

«Au cinquième round du festival Voix d’Amérique, des bêtes de scène s’arrachent joyeusement les mots de la bouche. À l’image d’un printemps précoce, et sans même vérifier si la marmotte a vu son ombre, la tenue en hiver du festival Voix d’Amérique (FVA) ragaillardit son homme. Car les Filles électriques, avec leur cheftaine, D. Kimm, ont pour mission de bardasser la littérature orale, écrite et électronique, comme nulle part ailleurs, avec spoken word et texte performé à la clé.»

— Line Crevier, Ici Montréal (Québec), 9 février 2006

«…un énorme succès underground (…), très très très couru, le public a embarqué, pourquoi: parce que c’est une proposition très originale.»

— Catherine Perrin, Radio-Canada: C’est bien meilleur le matin (Québec), 9 février 2006

«D.Kimm, directrice générale et artistique des Filles électriques, est littéralement branchée sur le 220. La multidisciplinaire créatrice dirige à elle seule la minuscule compagnie culturelle qui, depuis quatre ans, produit l’imposant Festival Voix d’Amériques (FVA). Rendez-vous annuel des artistes de la littérature orale, du texte performé et du spoken word, l’événement propose une série de prestations inusitées autant au niveau du fond que de la forme.»

— Marie-Luce Pelletier-Legros, Montréal Campus (Québec), 8 février 2006

«Thankfully, Montreal artist and organizer D. Kimm knows what a powerful force people and prose are against the mid-winter blahs. As the artistic and general director of the production company Les Filles électriques, she’s had the foresight to schedule an eight-day-long literary refuge, the Voix d’Amériques spoken-word festival, right smack in the middle of winter.»

— Melissa Wheeler, Maisonneuve (Québec), 5 février 2006

«Voix d’Amériques artistic director D. Kimm has always been a firm believer in the creative value of cultural diversity.»

— Pat Donnelly, The Gazette (Québec), 4 février 2006

«On peut dire qu’à cinq ans bien sonnés, le FVA a non seulement pris de la maturité, mais de la confiance. Une programmation riche et solide, une réputation qui n’est plus à faire, un rendez-vous devenu incontournable pour les milieux littéraire et musical… et même des traditions, maintenant.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 28 janvier 2006

«Un écrivain autochtone méconnu des francophones, une bande de poètes échevelés de la relève et un cabaret où l’exubérance homosexuelle se conjugue à l’intelligence du verbe, voilà le menu de nouveautés du cinquième Festival Voix d’Amériques.»

— Frédérique Doyon, Le Devoir (Québec), 25 janvier 2006

«February is the killer, but this city’s poetic impressarios have plans to warm us up with words and music. The centrepiece is the fifth annual FVA showcasing all things spoken…»

— Vincent Tinguely, Montreal Mirror (Québec), 19 janvier 2006

«… pour une cinquième année, D.Kimm et sa bande de Filles électriques nous ont préparé un festival étonnant d’audace, d’éclectisme et… de professionnalisme. Il faut le souligner, parce que dans le registre de l’underground et autres sphères en marge de la création d’abord rentable, cet élément fait souvent défaut et explique la mort dans l’œuf de tant de projets.»

— Tristan Malavoy-Racine, Voir (Québec), 9 février 2005

Édition 2005

«Ce festival unique fait place aux poètes, aux chanteurs et à ceux qui chérissent les mots, qu’ils s’expriment en français, en anglais ou en espagnol.»

— Louise Jalbert, Échos Vedettes (Québec), 12 février 2005

«D’underground qu’il était, le Festival Voix d’Amériques (FVA) est probablement devenu l’événement littéraire et poétique le plus dynamique de l’année.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 10 février 2005

«On y trouve un peu de tout ce qui fait Montréal, un peu de tout ce qui fait l’Amérique, des prestations en français, en anglais et en espagnol, un mélange de performances physique et intellectuelle, une mixture hybride et multilingue de lecture, de danse, de musique, de polémique et de politique, une fête de quelques jours qui mêlera marginaux et têtes connues, le temps de réinventer le monde.»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 5 février 2005

«Spectateurs, performeurs, musiciens et poètes — francophones, anglophones, hispanophones — s’accordent néanmoins sur l’essentiel: Voix d’Amériques, c’est une atmosphère. Une gueule d’atmosphère. Il faut dire que D. Kimm, longtemps avant de créer ce festival, était connue pour son amour de l’oralité autant que pour ses audaces de performeuse pluridisciplinaire…»

— Aline Apostolka, La Presse (Québec), 28 janvier 2005

«Parler. Dire la vie telle qu’elle est, festive ou amère, brutale ou douce, de préférence avec de la musique. C’est la mission que s’est donné il y a quelques années le Festival Voix d’Amériques…»

— Caroline Montpetit, Le Devoir (Québec), 27 janvier 2005

«Vraiment, c’était une super idée que ce Combat contre la langue de bois et on a bien hâte au deuxième round…»

— Chantal Guy à propos de l’événement Combat contre la langue de bois, premier round, La Presse (Québec), 21 février 2005

«Ce salon du livre improvisé, à l’ambiance très convaincante, a permis au public de prendre connaissance avec ce pan d’essentiel de notre milieu littéraire.»

— Maxime Catellier à propos de l’événement Le Salon de la marginalité, Ici Montréal (Québec), 17 février 2005

«Elizabeth Gagnon demandait donc à chaque artiste d’identifier un «mot délicieux»; les spectateurs se sont régalés du festin auquel le jeu a donné lieu.»

— Solange Lévesque à propos de l’événement Les Délices de la langue, Le Devoir (Québec), 14 février 2005

Édition 2004

«The seven-day event, which starts tonight on the Main, is arguably the quirkiest among Montreal’s many festivals because it’s so hard to categorize.»

— Juan Rodriguez, The Gazette (Québec), 13 février 2004

«Pas étonnant que le Festival se retrouve sur ce boulevard qui sépare la ville d’est en ouest et où se croisent et se rencontrent différentes cultures, différentes langues.»

— Stéphane Despatie, Voir (Québec), 12 février 2004

«Voix d’Amériques, c’est une ambiance festive, un peu anarchique, pas tranquille du tout et un peu délinquante…»

— Michel Vézina, Ici Montréal (Québec), 12 février 2004

«Ceux qui ont fréquenté le festival l’an dernier se souviennent des soirées inoubliables, résultats des performances live entre artistes parfois dépareillés, ce qui est l’une des charmantes qualités de Voix d’Amériques, un happening unique en son genre qui donne le pouls plus que battant du bouillonnement culturel du Montréal underground.»

— Chantal Guy, La Presse (Québec), 4 février 2004

«A memorable gem of a show.»

— Juan Rodriguez à propos de l’événement Les Semis populaires, The Gazette (Québec), 19 février 2004

«Le spectacle affichait complet et beaucoup ont dû passer la veillée assis par terre ou debout tant il y avait du monde (comme c’est de plus en plus le cas à toutes les représentations de Voix d’Amériques, d’ailleurs).»

— Chantal Guy à propos de l’événement Body and Soul, La Presse (Québec), 18 février 2004

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